Nicolas Grondin, mon éditeur de l’Arganier parle bigrement bien de Diabolo pacte, mon premier roman publié et qui a fait l’effet, à sa sortie, d’un antidépresseur culturel sans effets secondaires.
Esgourdez bien, braves gens : « Cette comédie burlesque dans le petit monde de l’édition ressemble à du Monty Python joué par le Splendid, avec Balasko en mégère non approvoisée… et plus fine qu’on pourrait le croire !
En dépit de sa disgrâce
physique, Garin Bressol, éditeur en vue de la prestigieuse maison 1515,
collectionne les succès de librairie et d’alcôve. Son secret : une fronde
diabolique qui lui donne le pouvoir de décaniller impunément ses adversaires.
Tout se détraque
lorsque Marilyn – qui a vendu son âme au diable contre une jeunesse éternelle
et pulpeuse – se fait embaucher comme comptable, car elle se consume pour
l’écrivain vedette de la maison : le superbe Antoine Maurier, auteur de
science-fiction et… homosexuel.
Momentanément en panne
d’inspiration, Maurier se perd dans les arcanes d’une autobiographie secrète et
tourmentée… que dérobe Marylin. Pour sortir de l’impasse, elle veut en effet
réintégrer le cour ordinaire du temps. Satan accepte le marché en échange d’une
âme innocente. Marilyn imagine alors un pacte à double détente : elle
persuade Antoine Maurier de passer à la concurrence, puis annonce à Garin
Bressol une faillite imminente avant de lui livrer la recette infaillible du
best-seller : publier l’œuvre du premier venu qui acceptera de vendre son
âme au diable pour être édité. Tous les postulants prennent leurs jambes à leur
cou. Sauf une, la pire : Josette Gougeard. Caricature de la ménagère de
plus de 50 ans, elle met en cause dans ses Mémoires
d’une jeune fille plumée la moralité du ministre de l’Éducation nationale,
parangon de vertu militant contre l’avortement, le PACS, le mariage
homosexuel…Garez vos miches, y’a une Tatie Danièle qu’est de
sortie ! »
Citation : Elle habitait une HLM de la cité Champagne. En voilà un nom magique qui faisait rêver le peuple pour pas cher Cité Kronembourg lui serait allé comme un gant parce que pour y picoler, on y picolait du moins noble et du meilleur marché. On n’y sabrait pas le Dom Pérignon à tour de bras mais derrière les portes en aggloméré plus d’un étaient capables de décapsuler avec les dents lorsqu’ils étaient trop bourrés pour mettre l’œil ou la main sur l’ouvre-bouteille.
Diabolo pacte n’a plus de maison d’édition ni de distributeur. Restent encore des exemplaires. rière de me contacter par messagerie : candatclaudine428@gmail.com
Diabolo pacte à Paris
Diabolo pacte à la campagne (Tarascon-sur-Ariège) |
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