Ce que j'écris, pourquoi, pour qui et les surprises de mon parcours littéraire

Poussière de sable

 Presse et interviews : ils ont lu et en parlent

 Babelio

 Images de romans avec Nathalie Glévarec

Le blog de François (L'épopée euskalienne) avec François Aronssohn

 Toulouscope avec Eva Kopp

 Phenixweb avec Frédéric Livyns

Le blog de François (Légendes ourdiniennes) avec François Aronssohn

 Michel Dargel dans Intramuros :

 Poussière de sable, L’épopée euskalienne, Rroyzz éditions (novembre 2018)

 De Claudine Candat, on connaissait l’ébouriffant “Diabolo Pacte” et l’étrange “Elwig de l’Auberge froide”, déjà chroniqués dans ces colonnes, voici venir le planant “Poussière de sable”. Ça n’est rien de dire que C. C. brouille les pistes mais si c’est pour notre plaisir, laissons-nous embrouiller. Ici, une planète, très loin, peuplée d’Euskaliens, fantastiques créatures de plumes et de lumière qui, comme nous, ont besoin d’énergie pour vivre. Pour extraire du sous-sol le précieux minerai, ils exploitent des gogorkis, sortes d’humains vivant à quatre pattes et qui nous ressemblent furieusement, bernés qu’ils sont par la religion et asservis par la technologie. Et une fois toutes les ressources épuisées, ils iront ailleurs, par des tunnels spatio-temporels, dans de grands vaisseaux de verre étirable, négocier avec les pieuvres de Gora. Propulsé par la plume galactique de C. C., un voyage inter sidérant dont on revient un rien chahuté avec le voluptueux sentiment d’avoir rêvé. Embarquement immédiat! (M. D.)

 Poussière de sable, Légendes ourdiniennes, Rroyzz éditions (2022)

 “Poussière de sable, légendes ourdiniennes”, de Claudine Candat (RROYZZ Éditions, 343 pages, 19,00 €) Faisant suite à L’épopée euskalienne chroniquée en son temps dans ces colonnes, voici le tome 2 de ces poussières de sable dont on ne sait pas si elles retomberont un jour et si oui, où. La science-fiction de Claudine Candat défie toutes les lois : celle de la gravité, de l’apesanteur, du temps, de l’évolution, voire même les lois du genre. Ses mondes ont peut-être existé ou existeront après, ses créatures sont pourvues d’auras lumineuses, d’ailes fines et transparentes, de nageoires et de palmes, communiquent en langage hypersonique ou s’habillent en peau de requin. Pourtant, aussi improbables et différents de nous qu’ils·elles puissent être, tou·s·tes luttent pour les mêmes valeurs que nous, la liberté, la justice, la reconnaissance et le besoin d’être aimés. Rien n’est jamais acquis, toujours il a fallu, il faut ou il faudra se battre. Dans ce labyrinthe poético galactique si bien construit, tour à tour lumineux ou vertigineux où l’auteure nous invite, le voilà notre fil d’Ariane, vieux comme notre univers, dont la solidité, proportionnelle à la confiance que nous mettons en l’Homme, nous permettra de retrouver la lumière. (M. D.)

Poussière de sable, volets 1 et 2

 


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Le réel, y a que ça de vrai !

Fictionnaire de l’écriture, j’ai débuté par des histoires absurdes que presque personne n’a lues pour la simple raison qu’elles sont demeuré...