Sur l’écran blanc d’un ennui noir, je peine à trouver mes mots. Il faut croire que le syndrome dit de la page blanche ne m’affecte qu’en cet organe précis de ma biologie littéraire : le blog. Un de mes rouages de locomautrice est grippé et refuse de repartir.
En
décembre 2021, quand j’ai mis en place ce blog pour parler à mes lecteurs,
anciens, présents et futurs, je m’étais dit que je publierais un article une
fois par semaine. Mon éditeur (RroyzZ éditions) m’avait même dit que l’idéal,
c’était 2 fois par semaine. Longtemps, j’ai tenu mon engagement : un
article par semaine sur des sujets qui débordaient largement la littérature et ma
personne d’auteur. L’actualité m’a aussi fourni des sujets, à savoir que j’ai
éprouvé la nécessité de m’exprimer sur la question : l'autofiction,
les injonctions à baisser
le chauffage (l’écrivain télétravaille), la féminisation à outrance du
vocabulaire, version actuelle de querelles byzantines autour du sexe des anges.
Mais, là, nous frôlons dangereusement un autre sujet brûlant.
Et
pourtant les choses à dire sur ce blog vont se précipiter : la
résurrection de Diabolo
pacte aux éditions d’Avallon, la parution de Coup de grain, recueil de nouvelles, aux éditions Auzas, mon roman
de science-fiction, Poussière
de sable, Légendes ourdiniennes, mention spéciale du jury des Arts
Littéraires.
Autant
de sujets à même de vous éclairer sur mon inspiration et mon parcours de
locomautrice.
En
ce moment, je travaille sur les BAT (bon à tirer), couvertures (1ère
et 4ème) de mes parutions imminentes. Je vous en réserve la
surprise.
J’ai
provisoirement interrompu l’écriture de mon nouveau roman qui nécessitera de
nombreuses recherches et une immersion dans l’inconnu (le passé de notre
famille).
Disons
que, pour le moment, côté blog, je me réserve.
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